
Lettres à ma famille
« les paroles s’envolent, les écrits restent ».
Les années passent et le temps perdu n’existera plus.
C’est vrai que j’ai bossé comme un fêlé, j’ai souvent dépensé plus que ce que j’ai gagné, j’ai été respecté, mais j’ai souvent loupé l’essentiel : la famille.
J’ai voulu bien faire, j’ai cru que pour protéger les miens, il fallait travailler sans relâche, offrir ce que je n’avais peut-être pas eu moi-même. Mais à force de courir après un idéal, j’ai parfois oublié l’instant présent, les moments simples qui font toute la richesse d’une vie.
Malgré les erreurs, les absences, les incompréhensions, on reste liés. Une famille, c’est ça : des hauts, des bas, des silences et des éclats de rire, des disputes et des réconciliations, mais toujours ce fil invisible qui nous unit. Peu importe où l’on est, peu importe ce qu’on a traversé, nos destins sont entrelacés.
Aujourd’hui, je veux que vous sachiez que, même si j’ai parfois été maladroit, même si je n’ai pas toujours su dire les bons mots ou être là au bon moment, mon cœur, lui, n’a jamais cessé de battre pour vous.
Le passé est figé, mais l’avenir nous appartient.
Protégé : Lettre à Romain
Il n’y a pas d’extrait, car cette publication est protégée.
Protégé : Lettre à ma mère.
Il n’y a pas d’extrait, car cette publication est protégée.
Nos journées sont longues et le train passe !!. Les Indiens d’Amérique l’avait baptisé le « cheval de fer ». Moi je vais le nommer le train…

