Une nuit branchée à Phnom Penh

A Phnom-Penh il n’y a pas que la rue 93 et la rue 172, il y a aussi des quartiers et les dédales de rues dans lesquels se perdent parfois les tuk-tuks.
Ce soir la nous avons débuté notre soiree au Golden Sorya Mall, appelé maintenant « Pub Street » situé rue 51.
même si cette zone commerciale, bars, restos, discothèques, a fait peau neuve,  elle est fréquentée que par une faune de petits trafiquants, de pauvres filles de bar usées, d’expatriés encore bien plus usés et en quête de perdition et quelques imbibés notoires.

Pour la suite de notre soirée, nous avions différentes options, retourner à la rue 173, ou descendre la rue 51, dans l’obscurité jusqu’à la rue 214 proche du Marché Orussey ou plus bas la rue 278, direction les fameux tuktuk bars à l’ange des rues 214 et 278 et 51. On nous a indiqué que ses coins étaient les plus animés de la nuit phnompenhoise.

Arrivé sur place, on comprends mieux pourquoi, on nous a indiqué ce coin, on est pas dépaysé, elle ressemble à Pub Street de Siem Reap, elle regorge de guesthouses et de bars et la majorité des clients viennent du monde entier, surtout européens, des fêtards de passage à Phnom-Penh.

Si vous recherchez une expérience authentique de la vie nocturne à Phnom Penh, offrant des opportunités de rencontres avec les locaux, ainsi qu’une chance d’appliquer le vocabulaire khmer que vous avez peut-être appris pendant votre séjour, alors les « tuk-tuk bars » sont une option à considérer. Bien que ce terme soit souvent utilisé de manière incorrecte, il désigne en réalité des comptoirs ambulants que l’on trouve communément à Bangkok, proposant des boissons alcoolisées ou non pendant la nuit, généralement accompagnées de musique. Cependant, à Phnom Penh, vous découvrirez un équivalent plus sédentaire de ces établissements, que l’on pourrait mieux qualifier de « terrasses de la rue 214 ou de la rue 278 « .

Ses rues sont aussi les endroits idéaux pour trouver ces lieux qui se juxtaposent les uns aux autres, avec seulement quelques centimètres d’espace entre les différents établissements.

Le concept est le suivant : de petits bars en extérieur sont aménagés dans de modestes cabanes de quelques mètres carrés, qui surplombent de spacieuses terrasses agrémentées de jolies tables et chaises en bois, éclairées de couleurs vives, telles que le jaune, l’orange, et parfois même le rose. L’atmosphère est à son comble vers 20 heures, lorsque de jeunes Cambodgiens viennent après les cours ou le travail, en compagnie d’amis, pour profiter d’un moment de détente et de convivialité.

Si vous appréciez les boissons alcoolisées, vous aurez l’occasion de déguster une multitude de cocktails, qu’ils soient glacés, fruités, ou non. Vous ne devriez pas hésiter à entamer la conversation en khmer ou en anglais, ou encore à proposer un verre, pour vous immerger au sein d’un groupe d’amis et discuter tout au long de la soirée. C’est une excellente opportunité pour échanger, apprendre davantage sur la culture locale, et créer des souvenirs mémorables au cœur de la vie nocturne animée de Phnom Penh.

Ambiances Backpackers assuré.



Le Top Banana est un incontournable de la rue 278 au dernier étage de la guesthouse du même nom sa bouge sacré ambiance, un petit détour à la rue 302 au bar de l’auberge de jeunesse Mad Monkey et vous découvrez comment s’amuse les Backpackers ou je dirais plutôt touristes de passage, bière et cocktails à gogo.
Je me poserais toujours la même question, pourquoi aller si loin pour picoler et écouter de la musique à la toque.
Ce n’est pas notre trip à Réglisse et à moi.

Heureusement un peu plus loin à 900 mètres une alternative sans touriste avec ambiance bon enfant, le Backstreet Bar, un bar d’habitués Phnompenhois.
Pour terminer la soirée, nous on est rentré se coucher, sachez que la plupart des boîtes sont gratuites à Phnom Penh.

Les plus réputées sont le Love Club rue 278, à côté du Top Banana, ou bien retour au Golden Sorya Mall et aller au Pontoon Club ou au Heart of Darkness Club.

Si vous tenez à rencontrer des Français à tout prix, direction le Vito Club au croisement de la rue 208 et du boulevard Norodom (rue 41) ou finir, une soirée dans un bar branché le Blue Chili, bars gays qui propose un show de drag queens certains soir de la semaine.
La nuit Phnom-Penh il y en a vraiment pour tout les goûts

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