Arrivé au Sri Lanka

AYUBOWAN, bienvenue dans ce récit captivant de nos premiers pas au Sri Lanka, où le salut traditionnel, accompagné d’un geste chaleureux, nous plonge dans l’atmosphère accueillante de cette île enchanteresse.

AYUBOWAN : « Que votre vie soit longue »

Après un vol de plus de 2 heures, notre aventure débute à l’aéroport international Bandaranaike, niché dans la charmante ville de Negombo. Les douanes franchies, les contrôles « Coronavirus » surmontés, et une nouvelle carte SIM en main, nous émergeons dans l’air étouffant de la nuit, une première immersion dans la chaleur prometteuse de nos vacances insulaires.

À peine le pied posé sur le trottoir, les chauffeurs de taxi, tels des messagers de l’aventure, nous accostent avec un chaleureux « Hello, sir, taxi », inaugurant ainsi le début de leurs négociations. En voyageurs avertis, nous optons pour une marche rapide à la recherche de notre premier TUK-TUK, conscient des tarifs justes que nous souhaitons obtenir.

Approchant un chauffeur local, la première offre nous surprend par son éclat, mais avec notre expérience préalable de l’Asie, nous entamons la négociation. Étonnamment, le prix s’ajuste à nos attentes, une danse familière entre voyageurs et chauffeurs dans ce coin du monde.

Notre première nuit au Sri Lanka commence par une petite péripétie. Malgré notre réservation tardive dans un hôtel proche de l’aéroport, la chambre n’est pas prête à minuit. La proposition d’une chambre immédiate moyennant un léger supplément ajoute une touche inattendue à notre arrivée. Une expérience singulière, mais cela fait partie de l’aventure pour les voyageurs au budget serré, nous nous prêtons pas à ce jeu et moins de 5 minutes plus tard nous étions installés dans une chambre.

Après une nuit écourtée, une nouvelle aventure s’annonce à la quête d’une pension accueillante. Dans cette région, où les options abordables sont aussi recherchées que les trésors cachés, notre exploration nous conduit vers une pépite dénichée grâce à l’application Agoda : la magnifique « House of Esanya ».

Embarquement immédiat dans un tuktuk, où une courte négociation avec les chauffeurs, d’abord tentés par la surenchère, nous projette vers le quartier « Kurana » de Negombo. Il se trouve sur la route principale Negombo-Colombo et à quelques kilomètres de l’aéroport. À deux dans le tuktuk, l’excitation monte, le changement d’environnement est complet, les routes dévoilent une nouvelle palette de paysages, les visages des habitants reflètent une culture lointaine, et l’atmosphère nous rappelle sans équivoque que nous sommes loin de chez nous. Les habitudes de conduite des Sri Lankais, une danse rythmée entre klaxons et zigzags, diffèrent de tout ce que nous avons connu jusqu’à présent.

Notre parenthèse de détente prend forme en périphérie de Negombo, à la « House of Esanya ». Malgré un léger couac de réservation, l’hôtesse nous accueille avec un sourire chaleureux, nous dévoilant une chambre aussi charmante que propre. Cette hospitalité authentique donne le ton à notre séjour, suscitant l’envie de découvrir les trésors cachés de cette région et de plonger plus profondément dans la richesse culturelle du Sri Lanka.

House of Esanya

Plongez dans la suite captivante de cette aventure où chaque étape réserve des surprises enchanteresses et des moments d’émerveillement. Dès que Réglisse et moi avons décidé de prolonger notre séjour à Negombo, une ambiance de détente s’est installée, avec pour règle d’or de ne pas se presser.

À Negombo, joyau situé sur la côte ouest du Sri Lanka, à seulement 35 km de Colombo et à un jet de pierre de l’aéroport international de Bandaranaike, nous avons choisi stratégiquement de prendre trois nuits pour explorer cette perle cachée. Après quatre mois de voyages incessants, l’idée de nous poser dans ce village côtier paisible était une véritable bouffée d’air frais.

Outre son statut de l’un des ports de pêche les plus importants de la côte occidentale, Negombo révèle un charme unique.