Barcelone

Sur la route des jeux olympiques de Barcelone de 1992

Le 25 juillet 1992, le monde avait les yeux rivés sur la ville de Barcelone, à l’occasion de la Cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques d’été, un événement d’une ampleur planétaire qui a profondément changé le visage de la ville et qui a légué à Barcelone un héritage considérable au niveau urbanistique, transformant son visage à l’aube du XXIème siècle, avec la rénovation de bâtiments vétustes (piscines Bernat Picornell, stade olympique), la construction d’infrastructures sportives sur Montjuïc et dans le quartier du Vall de Hebrón ainsi que la création du village olympique dans l’ancien quartier industriel de Poblenou, ne pas oublier la construction d’hôtels, l’amélioration des transports et l’agrandissement de l’aéroport et du port …
Mais la ville n’a pas connu que des olympiades sportives elle a également connu une Olympiade culturelle et 30 ans plus tard, que pouvons nous toujours voir comme d’œuvres artistiques à travers les rues de la ville.

Le tour des olympiades culturelles des jeux olympiques Barcelone.

  • 1ère boucle : District Ciutat Vella.
  • 2ème boucle : Le quartier de « la vila Olympica del Ploblenou« .
  • 3ème boucle : Montjuïc

Sur la route des symboles des jeux olympiques dans Le quartier de « la vila Olympica del Ploblenou.

Le quartier de la vila Olympica del Ploblenou est ouvert sur la mer, avec ses propres plages, se quartier fut créé pour accueillir les athlètes des Jeux olympiques de 1992. C’est aujourd’hui une très belle zone résidentielle qui a été complètement réhabilité et modernisé.
Avant les Jeux Olympiques la plage, la promenade, la « Ronda Litoral » et les immeubles qui abritaient notamment les sportifs durant les J.O n’existait pas, le quartier a du être entièrement repensé et conçu et c’est donc à partir de cette date que Barcelone s’est ouvert à la mer.

La porte d’entrée à la « Vila Olímpica » se fait par « le parc des Cascades« , il comprend un petit étang qui débouche sur une petite cascade, on y trouve 《1》la sculpture abstraite, œuvre du Hollandais Auke de Vries et qui s’intitule El poder de la paraula (Le pouvoir du mot).
Parmi les nombreuses sculptures qui sont arrivées dans la ville à la veille des Jeux olympiques, celle-ci a une signification particulière.
Il s’agit d’un cadeau du gouvernement de Hollande à la ville à l’occasion des Jeux olympiques.

Ce n’est pas l’unique sculpture du parc : à la suite, se dresse 《2》la gigantesque sculpture d’Antoni Llena, David et Goliath, qui semble suspendue en l’air.
David et Goliath a été inauguré en 92, vers la fin des Jeux Olympiques de Barcelone.
De style contemporain, cette sculpture d’acier contient un visage soutenu par trois pieds tordus, et symbolise apparemment la transformation d’une pauvre zone de la ville, le quartier Somorrostro, en un actuel village olympique.

Apres la sculture David et Goliath, la « Plaça dels Voluntaris Olímpics » majestueuse et immense elle est dédiée au bénévoles qui ont participé à l’organisation des Jeux olympiques.

De la on ne peut pas rater les deux tours jumelles de plus de 154 mètres de haut, la Tour Mapfre et l’Hôtel Arts, qui ont changé le profil de la ville avec leurs structures métalliques.

Elles sont l’entrée de la façade maritime de la Vila Olímpica avec ses bars, ses restaurants, ses discothèques et la plage de la Nova Icària, un luxe citadin de tranquillité

Au pied de la Tour Hôtel Arts, on découvre 《3》le Poisson d’Or conçu à partir de plaques de métal par Frank O. Gehry.

Avec ses 56 mètres de long et ses 35 mètres de haut, cette impressionnante sculpture en bronze qui change de couleur au fil de la journée, est censée nous rappeller le passé maritime de ce quartier. Sous ses écailles se cachent Barsbuvettes et restaurants, avec son jardin d’eau cette zone est devenue l’une des zones de loisirs les plus vibrantes de Barcelone.

Retour en arrière à la « Plaça dels Voluntaris » (grand rond point a proximité des 2 tours) l’entree du Parc del Port Olímpic ou on decouvre 《4》la sculpture Marc (1997), de l’artiste Robert Llimós . Une longue promenade s’ouvre ensuite, bordée par les mâts qui soutenaient les drapeaux de tous les pays participant aux Jeux Olympiques.

Ensuite, il y a une zone d’herbe, où se trouve le monument à la commémoration de l’ouverture du village olympique , composé d’une 《5》plaque commémorative et de deux plaques d’acier en forme de voiles de navire.

C’est la zone la plus végétalisée et elle bornée d’un long banc de trencadís aux formes ondulées.

A côté se trouve un restaurant avec un bassin qui abrite 《6》une sculpture de Cobi , la mascotte des Jeux Olympiques, conçue par Javier Mariscal .

Plus loin un espace 《7》la Plaça dels Campions qui rend un hommage aux champions de ces Jeux et à une série de super champions de ce sport. Pelé, Merckx, Carl Lewis, Johan Cruyff, Di Stéfano, Kasparov, Bubka, Kubala, Magic Johnson et Miguel Indurain, … malheureusement 30ans plus tard, elle est tombé dans l’oubli et se détériore progressivement.

Apres la Plaça dels Campions, environ 400 metre plus loin en longeant la rte « Salvador Espriu », on ne peut pas louper 《8》l’œuvre de l’artiste Francesc Fornells i Pla – « El raspall del vent ou El Tallavents » l’une des plus grandes sculptures de Barcelone, (un base de 24 mètres de long sur 6,5 mètres de haut).
Le Tallavents est composé de différentes plaques d’acier noirâtres.
L’idée de l’auteur de cet ouvrage impressionnant était précisément celle de créer un brise-vent qui aiderait à arrêter les forts courants d’air venant de la côte.
Cette sculpture abstraite fait allusion au vent de manière évidente, et elle le fait en l’exprimant à travers ses formes anguleuses, ses lignes brisées, les différentes orientations de ses plaques et le contraste créé par les parties fixées au sol et celles qui volent à travers l’air.

l’église 《9》 »Parròquia Patriarca Abraha » des architectes Joseph Benedito et Agustí Mateos, un bâtiment qui détonne dans le paysage urbain du quartier de la Vila Olimpica. Le quartier est certes moderne mais il est aussi froid et rationnel…et l’église, avec ses formes ondulantes, offre une perspective insolite de l’ensemble.
Destinée à l’étude et aux rencontres oecuméniques, les athlètes de toutes confessions religieuses pouvaient donc s’y recueillir.

Réalisation de ll’église « Parròquia Patriarca Abraha » en 3D

Notre route se prolonge sur l’avenue d’Icària principales artères de la Vila Olímpica. 
Cette immense avenue et couverte une série de 《10》grandes pergolas qui s’étendent sur presque toute la longueur. 

Pour visionner 《11》l’oeuvres de l’artiste Tom Carr le Cylindre il faut prendre la rue Rosa Sensat, qui traverse les immeubles Eurocity de ilot 7 (anciens quartiers d’habitations destinés aux athlètes des JO de 1992).
Cette pièce se trouve à l’entrée d’un parking de la rue Rosa Sensat. Avec la couleur bleue qui caractérise les œuvres de son auteur, ce grand cylindre est la deuxième pièce installée par Tom Carr à Barcelone.
La première oeuvre, de forme triangulaire, se trouve dans « el Jardí de les Escultures » de la Fondation Joan Miro.

Notre balade Olympiade culturelle dans le quartier de “la vila Olympica del Ploblenou nous amène vers《12》la Sculpture “Monument de l’âne” (en catalan : Monument al Cul), situé au Parc de Carles I.
La statue est de bronze avec une hauteur de sept mètres elle représente la moitié inférieure stylisée d’une femme vue de dos, a été créée par l’artiste pop et sculpteur espagnol Eduardo Úrculo.
Cette statue insolite et aussi nommée “Olympic statue” dévoilé en 1999 en hommage à Santiago Roldán.
Santiago Roldán était devenu le président de Holding Olímpico SA, l’association qui a conçu et construit l’infrastructure des Jeux Olympiques de Barcelone en 1992.
À sa mort en 1997, le conseil municipal a décidé de lui dédier un monument et a chargé Eduardo Úrculo de créer une statue en bronze qui serait installée dans l’un des parcs et espaces publics crées pour les jeux olympiques.

un petit coucou à la dernière cheminée en brique rouge 《13》du quartier et nous pressons afin de pouvoir visiter le belvédère qui domine “la vila Olympica del Ploblenou la Torre de les Aigües del Besós 15 minutes en Bus.

《14》La Torre de les Aigües del Besós a été construite en 1882 il y a 140 ans  dans le but de distribuer de l’eau aux habitants de Ciutat Vella. Mais la salinité de l’eau a fait qu’elle a fini par être utilisée à des fins industrielles.

Aujourd’hui elle offre une vue panoramique sur les environs en montant les 311 marches jusqu’au belvédère situé sur le toit (prix 6€) visite le samedi à 12h. Elle est l’un des rares éléments survivants du patrimoine industriel côtier de Barcelone, dans le quartier de Poblenou.

Sur la route des symboles des jeux olympiques dans la Ciutat Vella

Notre point de depart《1》le Monument à Christophe Colomb érigée sur le port à l’occasion de l’exposition universellede 1888, il est constitué d’un socle de pierre et d’une colonne de fer, surmonté de la sculpture de l’explorateur et célèbre navigateur Christophe Colomb, le bras droit symboliquement tendu vers la mer. Au pied de la colonne se trouvent différents ensembles sculpturaux en lien avec la découverte de l’Amérique ainsi que des statues en fer représentant huit lions. Il est situé au centre de la Plaça de la Porte de Pau sur le port de Barcelone et au début des Ramblas et del Moll de la Fusta (Quai du Bois) qui est l’un des symboles de Barcelona Olímpica. 

Vue panoramique de la colonne Christophe Colomb

Le Moll de la Fusta, un nom populaire qui a prévalu sur le nom officiel – Moll de Bosch i Alsina –, s’étend du Monument de Christophe Colomb et de la Rambla Mar, jusqu’au belvédère du Port Vell à Barcelone.

Son allure est celle d’une élégante promenade parsemée de palmiers. Par beau temps, c’est l’un des principaux lieux de la ville pour les concerts et les événements culturels de toutes sortes

La promenade a deux niveaux et dans le projet initial, il était prévu que le niveau supérieur soit transformé en espace de loisirs, avec des restaurants et des terrasses.

Cependant, cette initiative n’a pas abouti et peu d’éléments subsistent de cette période, bien que certains soient très significatifs, comme les pavillons ondulés ou la grande crevette conçue par Javier Mariscal – le père créatif de la mascotte olympique Cobi – pour le restaurant Gambrinus en 1989. Désormais elle appartient à la Mairie de Barcelone, qui décida de la laisser à sa place malgré la disparition du restaurant. Cette sculpture urbaine est aujourd’hui l’une des icônes les plus drôles de la ville on l’appele aussi Gambas ou « la Gamba de Mariscal ».

La transformation urbaine de Barcelone a également favorisé l’installation de sculptures le long du quai pour rendre hommage à la relation entre la ville et la mer

Au début n y retrouve des scultures t’elle celle de l’oeuvre du sculpteur Robert Krier « Hommage à Ròmul Bosch i Alsina », ancien maire de Barcelone,

La statue en bronze « Hommage à Joan Salvat-Papasseit » écrivain et poète moderniste espagnol d’expression catalane.

Ou l’œuvre du sculpteur chilien Lautaro Diaz Silva : « La Pareja » (Le Couple). Cette sculpture, formée de deux pièces de bronze stylisées, symbolise deux vieux amants regardant la mer.

Passerelle traversant la Ronda Litoral

en face le Monument à Christophe Colomb, en prolongement de les Rambles, une promenade sur une passerelle de bois en forme de vagues avec un pont Levis servant à relier le quai d’Espagne, « la Rambla de Mar »
De l’autre côté de la jetée, on peu voir le Maremagnum et l’ Aquarium.
De la passerelle on peut voir les deux Miraestels située dans le port de Barcelone, réalisation de Robert Llimós peintre et sculpteur barcelonais

Plus loin, dominant le belvédère du Port Vell, la sculpture « el Cap de Barcelone« , de l’artiste pop Roy Lichtenstein, emplit les lieux de couleurs. Il est pour moi, l’un des plus frappants avec ses points rouges vraiment représentatifs du pop art.
Elle se trouve sur la promenade et préside l’entrée du quartier de pêcheurs de la Barceloneta.
La sculpture, de quinze mètres de haut sur six de large, est visible de très loin. Elle est formée de huit pièces en pierre recouvertes de pièces de céramique.

Direction le Pla de Palau, petite place où une œuvre « Quatre blocs de granit finlandais » sans nom et sans signification réalisée par l’artiste allemand, Ulrich Rückriem, ont été placé devant la Fontaine du Génie catalan.

Actuellement cinq bâtiments anciens sont conservés sur cette place.

  • La Lonja de Barcelona / Llotja de Mar. 
  • Les anciennes douanes.
  • Maison Xifré.
  • Faculté de Nautisme.  
  • Maison Colasso

Les réverbères dispose seulement de trois branches et de moins d’ornements que ceux de la Plaza Real. Le sommet a une forme de couronne inversée, appuyée sur trois dragons, aux têtes qui dépassent.

La visite del Pla de Palau terminé, nous nous dirigeons vers el passeig del Born, c’est une rue charmante qui a su s’adapter aux exigences des nouveaux temps sans tourner le dos à son passé.

Nous sommes à la recherche

4) Escultura Cofre.
Cet ensemble sculptural fait aujourd’hui partie du paysage urbain barcelonais, totalement intégré au Passeig del Born, a été conçu par Jaume Plensa.
Il est composé d’un coffre en fonte, posé sur un banc de pierre, de 10 boulets de canon numérotés, noms et lettres en relief, situés sous les bancs de pierre de la promenade et une autre boulet posé sur une marche de la porte de l’Église Sainte-Marie-de-la-Mer.
Ils font référence à l’époque médiévale, lorsque ce quartier était le centre de barcelone.
Le complexe sculptural a été inauguré le 21 juillet 1992 et cette œuvre a été incluse dans les Configurations urbaines.

5) Rose des Vents, oeuvre de l’Allemand Lothar Baumgarten.
Situé dans la place Pau Vila elle se compose d’une série de lettres d’environ un mètre et demi de long, incrustées dans le sol, entre la place et les rues qui l’entourent, qui écrivent les noms des huit vents qui composent la rose des vents.
On dit que cette œuvre a été inspirée par le poème « Veles e vents d’Ausiàs March ».
Une œuvre curieuse et discrète difficile à comprendre.

6) Crescendo appare, oeuvre de l’Italien Mario Merz.
Elle se compose de 21 cubes encastrés dans le sol, à l’intérieur desquels se trouve une plusieurs chiffres logiquement eclairés.
Chaque nombre correspond à un de ceux qui composent la suite du mathématicien Leonardo Fibonacci qui est constituée d’un nombre résultant de la somme des deux qui le précéde.
1, 2, 3, 5, 8, 13, 21 , 34, 55, 89, 144, 233, 377, 610, 987, 1597, 2584, 4181, 6765, 10946.

7) Una habitación donde siempre llueve, de l’artiste madrilène Juan Muñoz.
Une pièce où il pleut toujours (Una habitación donde siempre llueve), un groupe sculptural situé sur la plaza del Mar, une grande esplanade devant la plage de Sant Sebastià.
Une pièce où il pleut toujours se compose d’une cage où sont enfermées cinq personnages en bronze, les yeux bandés, et qui ont une base sphérique à la place des jambes. Cet espace entre les barreaux est enfermé sous trois grands arbres, intégrés comme une partie supplémentaire de l’œuvre. L’ensemble est très inquiétant, de par sa situation et sa composition. L’auteur avait prévu d’installer un système d’arrosage permanent – d’où le nom de l’œuvre –, mais plusieurs raisons compliquèrent l’installation et finalement il ne fut pas mis en place.

8) L’Estel Ferit. une œuvre de l’artiste allemande Rebecca Horn.
Quatre cubes décalés empilés de manière désordonnée constituent la sculpture L’Estel Ferit.
Connu de tous comme els cubs, ce monument si populaire s’inscrit clairement dans le goût pour l’innovation artistique de la Barcelone olympique. Son symbolisme, cependant, est entièrement lié au passé du quartier de la Barceloneta.
C’était en 1992 et il fallait refaire une beauté aux quartiers les plus dégradés, tout en les ouvrant sur la mer et en les garnissant de sculptures souvent innovantes.
Dans ce cas précis, Horn voulait immortaliser les mythiques xiringuitos qui avaient peuplé, jusque quelques années auparavant, la ligne maritime de la Barceloneta ; ces baraques-restaurants plus ou moins détériorées mais pleines de charme ont en effet disparu avec le remodelage de la ville préolympique. D’autres disent qu’ils représentent en fait les quarts de pis de la Barceloneta, ces appartements de 30 m2 surgis au crépuscule du XIXe siècle.

9) Roman Libra (Balance Romaine) œuvre du Grec Iannis Kounellis.
Cette œuvre se trouve, depuis 2007, dans le petit espace entre les rues de Conreria et Andrea Dòria.
Il s’agit d’une composition constituée d’une série de plates-formes reliées par des crochets suspendus à une grande poutre, sur laquelle reposent des sacs. L’inspiration est claire et se retrouve dans l’activité portuaire qui s’est déroulée à l’endroit où l’on pensait situer la pièce.

10) Deuce coop au Centre Cívic Convent de Sant Agustí

Œuvre dans l’aéroport

Caballo de Fernando Botero. Depuis les jeux olympiques de 1992 la sculpture signé Fernando Botero est exposée dans le Terminal T2B de l’aeroport de Barcelone. [Plus d’infos]

Œuvres dans le quartier de « La vall d’Hebron« .

La Vall d’Hebron est un quartier résidentiel loin des grandes affluences touristiques, il se trouve au nord de Barcelone dans une vallée au pied de plusieurs collines, celles du parc Guell, Guinardo et Collserola. Bien desservi par le métro, il fut jusqu’au début 1900, une municipalité indépendante.
Le quartier fût ensuite comme Gracia incorporé à Barcelone.
A proximité je vous conseille d’aller vous promener au parc et labyrinthe d’Horta.

1) Forme et espace « Forma i espai » œuvre de l’artiste Eudald Serra.
Connue sous le nom de « el toro », l’oeuvre est situé en face du Chemin de Sant Genís. Il s’agit d’une œuvre monumentale composée de deux arcs en acier qui, en forme de portique, devaient accueillir les athlètes et visiteurs des Jeux olympiques.


2) La sculpture Els mistos (Les allumettes), Œuvres de l’artiste Claes Oldenburg.
Elle située dans le parc de la Vall d’Hebron, aux pieds de la montagne de Collserola, est l’œuvre de Claes Oldenburg et sa femme, la restauratrice Coosje van Bruggen.
Tous les deux d’origine scandinave, ils sont une référence de la culture pop américaine.
Ils sont surtout connus pour leurs œuvres reproduisant en très grande taille les objets les plus essentiels de la vie quotidienne. Claes Oldenburg fut l’un des pionniers du pop art.
Il ouvrit en 1961 une boutique à New York où il vendait des représentations en plâtre de hamburgers et de gâteaux, dans la lignée de ce courant qui transforma les produits de consommation en œuvres d’art.

Œuvres à Montjouic

  1. Piscines Bernat Picornell
  2. L’anneau olympique
  3. Tour de télécommunications de Montjuic
  4. Canvi
  5. Stade olympique Lluís-Companys
  6. Peveter Olímpic

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