Sur la route des jeux olympiques de Barcelone de 1992

Quartiers Gothique, de la Ribera et de Barceloneta

Le quartier gothique Barcelone lui, a commencé à intéresser les touristes bien avant 1992. En effet, le gotico Barcelona prouve que la volonté de transformer Barcelone en ville touristique et cosmopolite, est beaucoup plus vieille que la période des Jeux olympiques.

Œuvres dans les Quartiers de la Ribera et de Barceloneta

2) La Gamba.
Cette sculpture urbaine, était avant les jeux olympiques l’enseigne du restaurant « Gambinus » aujourd’hui connue sous le nom de, La Gambas ou La Gamba de Mariscal a été créée, en 1988, par Javier (Xavier) Mariscal.
Le restaurant a fermé en 1988. La sculpture a été racheté par la Mairie, rénovée et rattachée au déroulement des jeux Olympiques.
La sculpture est répertoriée dans la liste de l’Institut du paysage urbain de la Ville

3) El Cap de Barcelona
Il s’agit d’une sculpture de l’américain Roy Lichtenstein. Les points rouges sont représentatifs du pop art.
Elle se trouve sur la promenade de Colom, à côté du Moll de la Fusta, et préside l’entrée du quartier de pêcheurs de la Barceloneta.
La sculpture, de quinze mètres de haut sur six de large, est visible de très loin. Elle est formée de huit pièces en pierre recouvertes de pièces de céramique.

4) Cuatro Cuñas de Ulrich Rückriem.

Quatre coins de granit de l’artiste allemand, Ulrich Rückriem, une œuvre, qui sans nom et sans signification située devant la Fontaine du Génie catalan sur la place

5) Escultura Cofre.
Cet ensemble sculptural fait aujourd’hui partie du paysage urbain barcelonais, totalement intégré au Passeig del Born, a été conçu par Jaume Plensa.
Il est composé d’un coffre en fonte, posé sur un banc de pierre, de 10 boulets de canon numérotés, noms et lettres en relief, situés sous les bancs de pierre de la promenade et une autre boulet posé sur une marche de la porte de l’Église Sainte-Marie-de-la-Mer.
Ils font référence à l’époque médiévale, lorsque ce quartier était le centre de barcelone.
Le complexe sculptural a été inauguré le 21 juillet 1992 et cette œuvre a été incluse dans les Configurations urbaines.

6) Rose des Vents, oeuvre de l’Allemand Lothar Baumgarten.
Situé dans la place Pau Vila elle se compose d’une série de lettres d’environ un mètre et demi de long, incrustées dans le sol, entre la place et les rues qui l’entourent, qui écrivent les noms des huit vents qui composent la rose des vents.
On dit que cette œuvre a été inspirée par le poème « Veles e vents d’Ausiàs March ».
Une œuvre curieuse et discrète difficile à comprendre.

7) Crescendo appare, oeuvre de l’Italien Mario Merz.
Elle se compose de 21 cubes encastrés dans le sol, à l’intérieur desquels se trouve une plusieurs chiffres logiquement eclairés.
Chaque nombre correspond à un de ceux qui composent la suite du mathématicien Leonardo Fibonacci qui est constituée d’un nombre résultant de la somme des deux qui le précéde.
1, 2, 3, 5, 8, 13, 21 , 34, 55, 89, 144, 233, 377, 610, 987, 1597, 2584, 4181, 6765, 10946.

8) Una habitación donde siempre llueve, de l’artiste madrilène Juan Muñoz.
Une pièce où il pleut toujours (Una habitación donde siempre llueve), un groupe sculptural situé sur la plaza del Mar, une grande esplanade devant la plage de Sant Sebastià.
Une pièce où il pleut toujours se compose d’une cage où sont enfermées cinq personnages en bronze, les yeux bandés, et qui ont une base sphérique à la place des jambes. Cet espace entre les barreaux est enfermé sous trois grands arbres, intégrés comme une partie supplémentaire de l’œuvre. L’ensemble est très inquiétant, de par sa situation et sa composition. L’auteur avait prévu d’installer un système d’arrosage permanent – d’où le nom de l’œuvre –, mais plusieurs raisons compliquèrent l’installation et finalement il ne fut pas mis en place.

9) L’Estel Ferit. une œuvre de l’artiste allemande Rebecca Horn.
Quatre cubes décalés empilés de manière désordonnée constituent la sculpture L’Estel Ferit.
Connu de tous comme els cubs, ce monument si populaire s’inscrit clairement dans le goût pour l’innovation artistique de la Barcelone olympique. Son symbolisme, cependant, est entièrement lié au passé du quartier de la Barceloneta.
C’était en 1992 et il fallait refaire une beauté aux quartiers les plus dégradés, tout en les ouvrant sur la mer et en les garnissant de sculptures souvent innovantes.
Dans ce cas précis, Horn voulait immortaliser les mythiques xiringuitos qui avaient peuplé, jusque quelques années auparavant, la ligne maritime de la Barceloneta ; ces baraques-restaurants plus ou moins détériorées mais pleines de charme ont en effet disparu avec le remodelage de la ville préolympique. D’autres disent qu’ils représentent en fait les quarts de pis de la Barceloneta, ces appartements de 30 m2 surgis au crépuscule du XIXe siècle.

10) Roman Libra (Balance Romaine) œuvre du Grec Iannis Kounellis.
Cette œuvre se trouve, depuis 2007, dans le petit espace entre les rues de Conreria et Andrea Dòria.
Il s’agit d’une composition constituée d’une série de plates-formes reliées par des crochets suspendus à une grande poutre, sur laquelle reposent des sacs. L’inspiration est claire et se retrouve dans l’activité portuaire qui s’est déroulée à l’endroit où l’on pensait situer la pièce.

11) Deuce coop au Centre Cívic Convent de Sant Agustí

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