• City Breaks Corse,  Italie,  Lecci

    L’été en Corse

    Chaud devant ! Carnet de sueur à Lecci (Corse du Sud, août caniculaire) Août. Deuxième fois que je rends visite à ma famille en plein été corse. Ce n’est plus une Erreur de débutant, c’est de la stupidité.Cette année la chaleur est si intense que même les lézards cherchent de l’ombre. Pendant ce temps, l’île est toujours envahie par des Parisiens en tongs qui s’exclament à chaque détour de pin :— « Mais c’est trop chouette ici ! » Ce qui enclenche une macagna Corse. Tu s’est a quoi tu reconnais un pinzuti ?A ses claquettes, et la tête de Maure dessiné dessus J’ai posé mes valises à Lecci, juste…

  • Corse 2001

    Aout en Corse

    Première fois que je rends visite à ma famille en plein été corse. Erreur de débutant. La chaleur est si intense qu’au bout de deux minutes dehors, même l’ombre semblait brûler. Je me souviens avoir posé une canette de soda sur la table du jardin : le temps d’aller chercher un verre, elle était déjà tiède. Nous sommes partis en camping-car pour une petite semaine avec Myriam, mon ex-beau-frère Pierre, sa femme Marie-Hélène, leur fils Kévin, et Romain, mon fils.Romain est un habitué de la Corse : chaque année, il y passe ses vacances d’été chez ma sœur, sa marraine. Départ en camping-car depuis Lézignan.Première étape : l’embarquement à Marseille…

  • City Breaks Corse

    Trois jours en Corse-du-Sud

    Entre Porto-Vecchio et l’île de Piana Depuis deux ans, ma sœur a posé ses valises à San Ciprianu, près de Porto-Vecchio. Là, elle tient une petite boutique de plage où elle vend des paréos colorés, des maillots de bain, des tuniques légères… et même des téléphones portables, car c’est devenu la mode ici. Elle m’a souvent parlé de son quotidien en Corse, de la beauté des plages et de la douceur de vivre, mais je voulais voir par moi-même. Alors, depuis Montpellier, j’ai pris l’avion direction Figari. Trois jours seulement pour découvrir cette fameuse île de beauté. Jour 1 – San Ciprianu et Porto-Vecchio À l’aéroport de Figari, je retrouve…