• La street 172

    La street 172 a été une de nos rue préférée, entre les bars à filles, les salons de massages, les vieux Backpackers, les Guesthouses, les philosophes, les petits retos Indien ou Khmer et Ben Ben un expatrié depuis 10 ans en Asie. Toutefois restons honnête, je pense que la raison principale des étrangers qui viennent à la rue 172 ou autres rues du même style, c’est pour le sexe. Décidément, l’érotisme semble être aussi un virus tenace à Phnom-Penh qui reste un petit paradis pour les étrangers célibataires de sexe masculin non seulement pour ses attractions ou autres mais surtout pour sa petite vie nocturne animée. Contrairement à Bangkok, il…

  • Camp S21

    C’est surement à Phnom Penh que l’on peut le plus apprendre le plus sur l’histoire forte du Cambodge. Nous sommes allé visiter Tuol Sleng, ou le camp S-21 (musée du génocide). Il s’agit d’un ancien lycée transformé en prison par les Khmers Rouges. Grâce à l’audio-guide disponible en français et indispensable, on est immergés dans l’horreur qu’ont vécu des milliers de cambodgiens, torturés dans ces murs sans véritable raison à part la folie de Pol Pot et de son idéologie. En 4 ans, de 1975 à 1979, 1 cambodgien sur 4 a perdu la vie. Personnellement, nous ne connaissions pas cette période bien particulière du Cambodge, pourtant pas si lointaine. La visite est bouleversante. Cette…

  • Aeroport Phnom-Penh

    L’aéroport de Phnom-Penh  ne déroge pas à la règle chinoise !!!!! Depuis 25 ans les aéroports de Phnom Penh, de Sihanoukville et de Siem Reap sont gérés par VINCI Airports et Cambodia Airports, sa filiale locale. Leur contrat d’exclusivité sur les 3 aéroports expire en 2040. Afin de contourner les contrats VINCI, un consortium chinois, c’est vu attribué en 2017 par le gouvernement la construction de deux nouveaux aéroports internationaux un à  Siem-Reap et l’autre Phnom Penh qui de plus simple. Le groupe VINCI a du trouver la pilule difficile à avaler, car il vient de terminer de gros travaux  dans les aéroports de Phnom Penh et Siem-Reap. Toute la diplomatie…

  • Le Wat Sarawan Phnom Penh

    Le « Wat Sarawan » ou le « Saravoan Techo Pagoda » est situé dans un site entouré d’une immense enceinte où cohabitent, moines et sans-abri, est vraiment à l’écart des circuits touristiques, elle a mon gout beaucoup d’attraits. A l’intérieur, les peintures murales sont remarquables. C’est un havre de paix au milieu d’une ville bruyante. Ce site est habité par des familles et de nombreux moines dont beaucoup de jeunes. Un très joli endroit, un peu mal entretenu ou se mêlent vie monastique et vie de famille. Certains monuments sont impressionnant tant pas leur beauté mais aussi pas leur ancienneté Ce n’est pas l’un des meilleurs wats que j’ai vu mais il vaut…

  • La rue 93 – Phnom Penh Cambodge

    Après un Fiasco immobilier la population expulsée reprend ses droits. Street Art à Phnom Penh Ce n’est pas l’endroit habituel pour chercher des peintures murales, mais j’aime ça et ça me plaît, donc où que nous allions, je cherche toujours.  La plupart des villes du monde s’intéressent au street art mais le Cambodge à tendance à le cacher. Avant 2017, beaucoup de peintures murales ont été blanchis à la chaux. Pourquoi 2017?Depuis 2017 s’est créé avec la complicité de deux artistes français installés au Cambodge : Théo Vallieret Chifumi, le Cambodia Urban Art, qui malgré un contexte politique parfois compliqué accueille chaque année au mois de decembre des artistes locaux et internationaux, et certains…