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Départ Siem Reap

Siem Reap on s’en va !
Que retiendrais je de mon séjour !

Siem Reap a une architecture de style colonial et chinois notamment dans le quartier français et autour du Vieux Marché.

C’est une ville en plein développement du fait de l’attraction touristique en plein essor que représentent les temples d’Angkor depuis la fin de la guerre et des dernières attaques de Khmers rouges qui eurent lieu jusqu’en 1994.

Mais !!
1) A Siem Reap dès le premier jour j’ai été surpris de constater que toute la ville n’existait que pour servir les touristes étrangers, que toutes les rues sont occupées par des restaurants, des bars, des hôtels, des cybercafés, des salons de massage, des boutiques de souvenirs, des voyagistes, aucun signe de pauvreté comme j’en avais entendu parlé. Immédiatement des questions me viennent à l’esprit :
La pauvreté avait-elle réellement été réduite grâce au boom du tourisme?
 Ou était-ce caché pour ne pas ternir l’expérience touristique?
Je n’aurais pas de réponse à aucune de mes questions.

2) A Siem Reap, on se retrouve parachuté dans un monde qui va trop vite, trop fort. Tout le monde te saute dessus pour t’emmener en moto-dop ou en Tuk-Tuk ça klaxonne, la circulation est un vrai bordel, on ne sait vraiment pas où traverser, ça roule dans tous les sens, c’est bruyant,

3) A Siem Reap les prix sont différents d’un endroit à un autre. Il faut négocier pour absolument tout, tu peux payer ta bouteille d’eau 500 riels (10 centimes d’euro) à un endroit et puis 8000 riels (1,60 €) un peu plus loin.

4) A Siem Reap la monnaie officielle est le dollar américain, tu paies en riels (monaie officielle) ils te rendent la monnaie à la fois en riels et en dollars, tu as toujours des dollars et des riels dans ton porte-monnaie, et c’est un vrai bordel.

5) A Siem Reap, pas un seul prix n’est affiché en riels, si tu as des riels dans ton porte-monnaie, c’est à toi de faire la conversion.

7) A Angkor les sollicitations permanentes des vendeurs de tout et de rien. Boissons, bouffe, écharpes, sculptures, bracelets, sacs, cartes postales… Tout le monde te court après sans arrêt, et ne te lâche pas la grappe.

7) A Angkor La plupart des enfants parlent anglais et français.
Ils ont appris au contact des touristes.
Ils viennent vers toi en demandant d’où tu viens. Quand tu réponds France, ils répliquent aussitôt «capitale Paris», tous sans exception.
Puis ils te demandent, en français, comment tu t’appelles, et souvent ils te chantent : «Au clair de la lune » ou «Frère Jacques».
Du coup tu chantes avec eux et tu tombes dans le piège.

8) A Angkor un des derniers aspects un peu chiant, la foule, c’est plein de monde. Difficile de faire une photo sans personne devant. 

8) A Kompong Phluk un des village flottant, ils font du chantage affectif par rapport à l’école. Ils te demandent d’acheter leur marchandise pour qu’ils puissent aller à l’école.

……. Et j’en passe.

Je dirais simplement que c’est la règle du jeux.

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