Le fruit du dragon

Le fruit du dragon également connu sous le nom espagnol de pitaya ou pithaya ou pitahaya.

Ce fruit est très intriguant, son aspect écailleux de couleur rose ou jaune, est très esthétique.

Il en existe trois types :

  • celui ayant une peau rose renfermant une pulpe blanche, c’est le plus courant.
  • celui à la peau rose et à la pulpe rouge.
  • celui possédant la peau jaune et une pulpe blanche.

Le pitaya est un fruit riche en vitamine C, en fibres, en antioxydants et en sels minéraux. Il est très faible en calories, c’est la raison pour laquelle il est utilisé dans certains régimes.

On lui prête des propriétés dynamisantes, laxatives et purgatives (dont les deux dernières proviendraient des petites graines noires, issues de la pulpe). Il s’agit également d’un fruit désaltérant qui facilite la digestion.

Le fruit du dragon se mange crue à la manière du kiwi à qui il ressemble un peu avec sa chair parsemée de graines noires, sa fleur peut être consommée sous forme de thé.
La chair du pitaya peut-être utilisée pour un sorbet, un jus de fruits ou en salade de fruits, une panna cotta* ou une crème dessert..
On le consomme à la petite cuillère après l’avoir coupé en deux, vous peu également l’agrémenter d’un peu de jus de citron pour relever ses saveurs !

*La panna cotta est avec le tiramisù l’un des desserts italiens les plus connus. D’origine piémontaise, elle est servie dans des verrines et se déguste à la cuillère. 

Originaire d’Amérique centrale, le pitaya ou fruit du dragon est de plus en plus fréquent dans nos rayonnages. Son nom vient de l’indien Taïno qui signifie « fruit écailleux« . Il était utilisé dans la médecine traditionnelle indienne pour ses vertus laxatives.

Le surnom de la pitaya, « fruit du dragon », provient du vietnamien Thanh Long. La longue liane qui porte les fruits et qui s’enroule autour du tronc des arbres rappelle en effet le corps sinueux de cette créature mythologique, très présente dans l’imaginaire asiatique.